Thierry Ardisson, ou la brûlure des peaux épaisses

Thierry Ardisson, ou la brûlure des peaux épaisses

🕶 Thierry Ardisson vient de nous quitter.
L’homme en noir restera comme un symbole de télévision française : élégant, mordant, excessif, toujours en quête de sensations fortes.

On l’aimait pour sa lucidité crue, son humour au vitriol… et parfois, on le craignait pour la même raison.
Et pourtant, quand on connaît la morpho-psychologie, son visage disait déjà tout de lui.

💡 Les peaux épaisses vivent fort, ou ne vivent pas.

Chez Ardisson, on voyait :

• Une peau mate, dense, résistante : indice d’une vitalité débordante et d’une capacité à encaisser.

• Des traits massifs, charnus, marqués : le besoin de ressentir, de vibrer, quitte à provoquer ou à se brûler.

En morpho-psychologie, les peaux épaisses sont celles qui supportent plus que la moyenne… mais qui, justement, cherchent toujours plus.
Ce sont des profils qui ont besoin d’intensité pour sentir qu’ils existent : une soirée sage, une vie tiède ? Très peu pour eux.
Alors ils provoquent, testent, consomment, abusent parfois.
C’est leur force, mais aussi leur fragilité.

✨ Et nous ? Savons-nous lire ce que notre peau raconte de nous ?

On ne choisit pas d’avoir une peau épaisse ou fine.
Mais on peut choisir de canaliser cette énergie, de la transformer en quelque chose de plus constructif que la seule provocation ou l’excès.

Thierry Ardisson nous laisse cette leçon : vivre fort, oui… mais apprendre à vivre juste peut-être encore mieux.

💬 Et vous ? Votre peau est-elle fine ou épaisse ? Que cherchez-vous pour vous sentir vivant ?

Parce que la vraie liberté commence toujours par la connaissance de soi.